Gynocratie naissante.
Statut de l’esclave mâle au sein du couple lesbien.
Note : Ce texte est écrit à partir de la consultation du forum gynarchique de Gynarchy Internationnal, Promotion de la Gynarchie, Expériences.Je présente et résume ici le point de vue de Maîtresses vivant au sein d’un couple lesbien et possédant un esclave en phase d’éducation ou déjà formé à la soumission à la Femme.
Ce qui m’a poussé à écrire cet article est que les idées développées sur ce forum ne sont pas des phantasmes de mâles en quête de sensations particulières mais bien le fruit d’une expérience pratique réellement vécue qui à mon humble avis on une valeur formative et exemplative certaine pour Celles et ceux qui débutent dans ce domaine ou qui veulent simplement s’informer pour débuter dans une relation Maîtresse/esclave.
Le texte écrit dans une fonte différente et entouré de guillemets sont les paroles prononcées par les Maîtresses elles-mêmes.
esclave sem.
Pour les partenaires du couple lesbien, l’un des moyens les plus productif est de toute évidence le contrôle total et permanent par les Maîtresses de la sexualité de l’esclave. Pour certaines d’entre-Elles, l’esclave doit être « pénétrable » à souhait. Etre forcé par ses Maîtresse rappelle à l’esclave qu’il est sous le pouvoir et le bon vouloir des ses Maîtresses.
« Celui d’une soubrette à tout instant pénétrable et au ‘clito’ méticuleusement contrôlé » « Nous le faisons à tour de rôle et sans aucune manifestation affective, pour qu’il n’y trouve rien d’autre qu’une sorte de contrainte physique témoignant de notre pouvoir, un rappel régulier de l’essence pénétrable de la Féminité à laquelle il doit adhérer. » « Nous voulons lui faire expérimenter notre intrusion, notre invasion de son être, notre souveraine possession de son intériorité. »
Pour Elles l’esclave est une sorte d’être ou d’objet asexué ni mâle ni femelle utile par le travail qu’il peut fournir, ou pouvant servir d’élément décoratif voir encore d’objet passif tel une table, un repose-pieds ou un porte manteau.
« Nous avons attribué à notre esclave le statut de représentant d’une sorte de troisième sexe. » « C’est en tenant compte de cela que l’on fait de l’esclave un élément passif, décoratif, utile, qui agrémente l’épanouissement sensuel et sentimental du couple féminin. »
L’esclave peut également
contribuer intellectuellement, affectivement, financièrement dans le
cadre strict des besoins et désirs des Maîtresses à l’épanouissement
sensuel et sentimental du couple féminin.
Ce qui fait l’unanimité au sein de la sororité lesbienne
gynocratique est que l’esclave ou les esclaves appartenant aux Femmes
n’ont d’autre utilité que de vivre et exister que pour assurer
la pleine et entière satisfaction de ses Maîtresses par une obéissance
et une soumission totale ainsi que par un dévouement sans limite.
« Sa seule fonction appréciale, ‘le zizi’, est d’empêcher l’esprit de l’esclave de penser sérieusement à autre chose qu’à Nous, ses Maîtresses, et à notre bonheur. »
L’esclave gynarchiste est une espèce d’être-objet purement destiné au service de la Femme, à la satisfaction des ses besoins et à la réalisation de ses désirs et ceci de la façon la plus désintéressée qui soit.
« Il est vraiment devenu un objet et, ma foi, nous en sommes assez contentes. »
Pour certaines d’entre-Elles,
l’esclave peut être considéré comme un automate, un
robot que les Maîtresses activent en poussant sur les bons boutons en
fonction du type de tâche à effectuer, robot possédant une
certaine aptitude à exécuter les ordres reçus, voir pour
certains une certaine capacité d’initiative
orientée exclusivement vers la réalisation du désir féminin.
« Je préfère avoir une machine dont je presse les boutons en fonction de mes besoins plutôt qu’un mâle trop ‘informatisé’ qui serait convaincu de pouvoir fonctionner tout seul. » « Le système de Pavlov est un peu simpliste s’agissant d’un esclave familier et même intime. Toute la difficulté est de trouver et maintenir un équilibre satisfaisant ( pour nous les Femmes) entre l’aptitude à exécuter des ordres et une certaine capacité d’initiative qui si elle est orientée exclusivement vers l’anticipation de nos désirs, peut être assez agréable. »
Pour permettre au mâle courant, commun d’atteindre un comportement sain, un dressage-éducation efficace doit tenir compte de la nature de l’esclave et du contexte de la vie quotidienne.
Pour certaines Dominatrices,
ce type de dressage s’apparente à la culture de plantes vertes
auxquelles on donnera plus ou moins de lumière, plus ou moins de chaleur
ou de nutriments selon la nature de la plante. Le résultat de la culture
sera d’autant meilleur que la culture sera faite avec beaucoup d’attention
et de méticulosité.
Pour arriver au meilleur résultat, la chasteté imposée
à l’esclave semble essentielle et être sous contrôle
féminin. Le débat actuel porte principalement sur le fait que
celle-ci doit être totale et définitive ou être savamment
dosée par les Maîtresses pour être un moyen efficace de pouvoir
permanent.
« Le mâle en cours d’asservissement est
sensible à la chasteté imposée et ‘institutionnelle’
si j’ose m’exprimer ainsi, qui découle de sa condition inférieure
de mâle et de l’homosexualité de sa Maîtresse. »
« … y compris la pause d’un chastity tube en acier poli,
fixé à demeure par deux ou trois piercings, je ne sais plus, dont
un frenum. » « L’esclave nous montre sa giclette
dans un tel contexte de contrainte, d’humiliation, de dérision
qu’il ne s’agit d’aucune manière d’une manifestation
de virilité et encore moins l’acte arrogant d’un mâle. »
L’une des techniques utilisée avec succès dans le dressage du mâle et la technique de la double contraine, ‘double bind’ ou encore de la douche écossaise qui consiste à souffler le chaud et le froid de manière à laisser l’esclave dans un état de perplexité permanent le rendant plus attentif aux désirs de ses Maîtresses et le conduisant à réfléchir en permanence à la qualité de son service.
« Indulgence, approbation, encouragement et à la première réaction positive, surprise, colère, punition. »
Peut-être ce peut-il
que dans certains cas une méthode soit plus efficace que l’autre ?
Il semble également que le dressage pour être efficace à
long terme doive obtenir la collaboration et l’adhésion inconditionnelle
du mâle au projet et aux valeurs gynocratiques par :
Une préparation psychologique, un conditionnement à la soumission et à la servitude à la Femme comme un moyen pour le mâle de se réaliser pleinement.
« Je veux parler d’une préparation psychologique, d’un conditionnement conduisant le mâle à désirer se soumettre, à concevoir la servitude à la Femme comme le meilleur moyen de réaliser son bonheur . »
Un apprentissage à adopter comme naturel et inéluctable un comportement allant dans le sens de la soumission à la volonté féminine et à la satisfaction pleine et entière du désir féminin.
Ceci constitue sans nul doute, pour votre serviteur et les autres mâles,
une nourriture spirituelle qu’ils devront méditer pour assainir
leur comportement à l’égard des Femmes qu’Elles soient
lesbiennes ou non. Il espère sincèrement que les idées
ci-dessus contribueront rapidement au développement d’une société
de type gynocratique et aideront certaines d’entre Vous Mesdames à
prendre en main de manière efficace les mâles inférieurs
que nous sommes.
Et comme le dit si bien une Maîtresse :
« Il m’est apparu clairement que seul l’asservissement total de mon mari pouvait à la fois me rendre la vie meilleure et ma tranquillité d’esprit. »
La clé d’une société meilleure, une civilisation de la paix et du progrès, celle de demain doit naître, naîtra de la prédominance et de la souveraineté du clitoris sur le pénis.
esclave sem.